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Traoré Adama

 

« Quand les idéologies et les religions occultent les vérités les plus évidentes, c’est l’ensemble des œuvres de l’Homme qui devient éphémère »

Kama Sywor Kamanda dans « les fondements de l’être »

Introduction

J’ai montré dans une étude précédente que Cheikh Anta Diop est bien le fondateur de l’histoire moderne de la religion africaine. Mais le travail pionnier qu’il a entrepris dans ce sens reste encore très peu connu du grand public voir même des spécialistes pourtant très avertis. 

Aussi cette communication vise à mettre en lumière l’une de ses nombreuses idées constitutives de l’histoire de la religion restées dans l’obscurité à savoir l’origine philosophique africaine des religions dites révélées.

Il s’agit donc, d’une part, d’exposer cette idée et d’examiner sa valeur démonstrative en cherchant à savoir quelles sont les sources et la méthode utilisées ?

Il s’agit, d’autre part, de dégager la portée de cette idée novatrice à savoir ses enjeux scientifiques et sociaux pour la renaissance africaine.

 

 

L’étude vise à montrer comment, à travers l’exemple du manuel français d’histoire de la classe de Cour Moyen, l’enseignement dans les écoles étrangères sur le sol ivoirien vise à dévaloriser l’Afrique et les Africains dans l’imaginaire des enfants… Aussi il convient de s’interroger sur l’avenir de ces enfants de l’élite économique…et sur la pérennité de la personnalité culturelle africaine dans  notre société.

-i=ii=iy=yy=yi=iw = « VENIR »= « S’EN ALLER » EN EGYPTIEN ANCIEN-BETE ET BAOULE

Résumé

Les formes phonétiques de « venir », « s’en aller » dans la langue égyptienne ancienne survivent toujours dans les langues (en réalité des dialectes) modernes wawolé (baoule) et bété de Côte d’Ivoire.

Résumé 

Dans ce texte qui date du 16 mail 2009, Les auteurs, Yao N'Guetta et Traoré Adama, alertaient l’opinion sur la destruction des cultures africaines par les idiologies étrangères qui se déploient tranquillement à l’ombre du prosélytisme religieux. La diversité culturelle et religieuse est une richesse pour l’humanité qu’il convient de préserver.

BONI MEL ET TRAORE ADAMA

(Texte extrait  du fascicule 7 édité par l’association Kemetmaat en septembre 2012.

Publié sur le site dyanbukam.com avec l’aimable autorisation de Kemetmaat.)

PRESENTATION

« L’histoire qui sert est l’histoire qui construit la conscience historique du citoyen et qui le rend apte au patriotisme. Or l’enseignement de l’histoire dans nos écoles est un déni permanent et une occultation à tout prix de notre passé. Tout semble être mis en œuvre pour que les africains en sachent le moins possible sur les gestes de leurs ancêtres, tout en faisant croire qu’on les forme à l’histoire. » (Traoré Adama, Fascicule 9 : la grande guerre de l’huile dans le bassin de la lagune kyaman (Ebrie) (1852- 1853), les presses Per Ankh d’Abidjan, Septembre 2012).

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